vendredi 28 mai 2010

Elections et plébiscites sous la IIe république

(photos cliquables)

Commençons par un récapitulatif sur le suffrage tout au long de la IIe république (1848-1852)
  • 5 mars 1848, le suffrage universel masculin direct est proclamé. Peuvent voter tous les hommes d'au moins 21 ans sauf les militaires et le clergé. Le corps électoral est alors à plus de 9 millions d'électeurs.
  • 10 décembre 1848, première élection présidentielle au suffrage universel masculin direct. Louis Napoléon Bonaparte est élu avec 72,4% des votes exprimés.
  • 31 mai 1850, restriction de l'étendue du suffrage. Est électeur un homme domicilié dans le canton depuis au moins 3 ans. Environ 3 millions de citoyens sont privés du droit de vote! 

Les pères et mères, beaux pères ou belles mères ou autres ascendants remplissaient une déclaration de domicile électoral pour les fils, gendres, petits fils ou autres descendants majeurs.
Mon trisaïeul LETELLIER Jacques (arrière arrière grand père) et son frère Pierre ont été déclarés par leur père LETELLIER Pierre comme vivant chez lui depuis leur naissance à Saint Vaast d'Equiqueville.


















Déclarations de domicile électoral de LETELLIER Jacques et Pierre
Trouvés dans la série 3E (archives communales). A l'époque, ces documents m'avaient permis de découvrir un frère à mon trisaïeul.

  • 2 décembre 1851, coup d'état de Louis Napoléon Bonaparte qui abroge la loi du 31 mai 1850 et appelle l'armée à voter pour la première fois.
  • 14 janvier 1852,rétablissement du suffrage universel et mise en place de la candidature officielle. Seul le candidat officiel (nommé par le prefet, nommé lui même par L.N. Bonaparte) peut apposer des affiches, disposer de bulletins de propagande et de vote ce qui coupe toute possibilité d'expression à l'opposition
En décembre 1851, un premier plébiscite est effectué pour donner ou non son approbation au coup d'état du 2 décembre 1851 et au retour aux institutions qui gouvernaient la France au début du siècle. Le "OUI" l'a remporté très majoritairement.

Le 21 et 22 novembre 1852, le peuple est à nouveau sollicité pour donner son avis sur le rétablissement de l'Empire. Voici l'intitulé de ce plébiscite:

Et voici les résultats sans équivoque de Saint Vaast d'Equiqueville, village où ont participé mon trisaïeul, son frère et son père:
Résultat total en France:     Oui   7.800.000     Non:  280.000    (Quid 1995)
                                   
Et voici le procès verbal dans son intégralité















Oh mes aïeux, ne négligeons pas les archives communales, elles peuvent nous apporter beaucoup de renseignements sur nos ancêtres et leur donner beaucoup plus qu'un simple nom.

lundi 24 mai 2010

Conscription et remplacement au 19e siècle

   Avant la Révolution, on utilise dans les armées une majorité de mercenaires d'origine étrangère, complétée par des enrôlés dits "volontaires".
Le régime républicain qui se met en place à partir de 1792 doit faire face à une guerre déclarée dès le 20 avril aux monarchies européennes. Les contingents de volontaires ne suffisent plus, il manque 50.000 hommes début 1792! De plus, les soldats peuvent démissionner avec un préavis de 2 mois avant la fin de chaque campagne, décidé arbitrairement au 1er décembre vu l'impossibilité d'en connaître la longueur. Ce qui aboutit à un nombre massif de départs chaque hiver!

La conscription est alors inventée avec la loi Jourdan le 19 fructidor de l'an 6 (5.09.1798)
"Tout Français est soldat et se doit à la défense de la patrie"
Article 1er de la loi Jourdan
   Tous les hommes de 20 ans sont recensés, jugés aptes ou non et tirés au sort pour partir à l'armée en fonction des quotas fixés par le ministère de la guerre.
Celui qui tire le mauvais numéro peut se faire remplacer au service armé qui dure à l'époque 7 ans en achetant un remplaçant 1200 francs. Le conscrit, jusqu'en 1855, fournit lui-même son remplaçant soit par connaissance soit en s'offrant les services d'un marchand d'hommes. De 1855 à 1868, l'état se charge de trouver les remplaçants sur la demande des conscrits. Puis en 1868, on en revient au marchand d'hommes et au remplacement libre. Cette possibilité de remplacement est aboli en 1872.

    Mon arrière arrière grand père Henri Heude profita de cette loi sur les remplacements en 1870. Il acheta donc un homme, Ignace Stoll, pour faire son service militaire à sa place. Il se sont rendus tous les deux à Rouen pour formaliser la démarche le 12 juillet 1870. 

 


















    Une semaine plus tard, mon aïeul se rend chez le notaire à Neufchâtel pour établir une obligation ou reconnaissance de dettes de 1100 francs. On peut supposer que cet argent a servi à l'achat de son remplaçant...





Oh mes aïeux, Henri Heude n'a pas fini de faire parler de lui...suite de ses aventures dans de prochains billets.

Sources:
Autour d'Ecuras. Journal d'Histoire locale, monuments, folklore par Mme Fils Dumas-Delage
Les soldats d'Empire au quotidien - JP Mir

lundi 17 mai 2010

Double assassinat

A ma dernière visite aux AD de Rouen en mars, j'avais trouvé l'acte de décès du frère d'un de mes ancêtres. Cet acte datant du 29 novembre 1845 mentionnait que Jean François Joseph VERDIER avait été assassiné à Bailleul-Neuville (76), dans son domicile la nuit passée à l'âge de 62 ans!


Cette sombre histoire me trottait dans la tête et je devais trouver d'autres éléments sur cet assassinat.

Je suis allée aux AD cet après-midi et cette affaire fut l'une de mes recherches. L'archiviste, que j'ai ennuyé une bonne partie de l'après-midi avec mes recherches "bizarres", ne savait pas trop où avoir des renseignements mis à part les journaux de l'époque.
Bailleul-Neuville fait partie du canton de Londinières, à une quarantaine de kilomètres environ de Rouen. Je commence à regarder dans le répertoire des journaux et périodiques locaux (côtés JPL) pour essayer de trouver un journal pouvant correspondre à mes recherches mais le classement alphabétique par nom de journal et non par commune me dissuade et je décide donc de chercher dans Le Journal de Rouen qui est entièrement numérisé. J'avais un petit espoir de trouver un article,vu le sujet, malgré la distance entre les deux villes.
Voici ce que j'ai trouvé dans l'édition du 1er décembre 1845:

Journal de Rouen 1.12.1845 - Archives départementales de Seine-Maritime

Oh surprise! La femme de François VERDIER avait été elle aussi assassinée dans son lit par des malfaiteurs.
Je n'avais pas vu en mars que l'acte de décès du mari était précédé sur la page d'avant du registre par l'acte de décès de sa femme, acte que je me suis empressée de chercher.


On peut voir que le mot "assassinée" a été mal écrit par monsieur le maire!

Voilà tout ce que je sais pour le moment sur ce double assassinat.
Faut il voir avec la mairie de Bailleul-Neuville, peut-être savent ils quelque chose ?

Affaire à suivre...

Affaire maintenant résolue:
L'affaire des époux Verdier 1/3
L'affaire des époux Verdier 2/3
L'affaire des époux Verdier 3/3


Oh mes aïeux, la campagne en 1845 n'était pas plus sûre que maintenant !

samedi 15 mai 2010

Quelle liste !!

Les contrats de mariage notariés étaient très répandus du 17e au 19e siècle.

On peut y trouver un tas de renseignements sur nos ancêtres, pas forcément fortunés car même issus d'un milieu modeste un contrat de mariage pouvait être écrit.

Les grands parents de ma grand mère maternelle Henri Philogone HEUDE et Clarisse Alphonsine THIBAUT se sont mariés à Lucy (76) le 3 octobre 1871.
Voici un extrait de leur contrat de mariage établi chez Maitre Guillou à Neufchâtel (76) le 1er octobre 1871. Ils avaient opté pour la communauté réduite aux acquets.
Vous pourrez voir que tout y est détaillé et comptabilisé au franc près. 


"Le futur époux possède de ses économies et il apportera en mariage linges, habillement et montre à son usage personnel, non estimés à sa demande parce qu’il se réserve, le cas échéant, d'en faire la reprise en nature, en l'état et en telle quantité qu’il se vaut;
         Il est en outre propriétaire de la moitié indivise à l'encontre de M. Philogone Adalbert Heude, son frère, d'une ferme située en la commune de Massy..."


"De son côté, la future épouse possède de ses épargnes et elle apportera en mariage:



         1° Les linges et habillements à son usage personnel, au nombre desquels 48 chemises, le tout non autrement décrit à sa demande mais se distinguant facilement par sa nature et sa distinction et estimé à 600 francs

         2° Les meubles et linges de ménage dont le détail et l'estimation suivent:
                   12 paires de draps en toile estimées à 2014 francs
                   24 serviettes estimées à 16 francs
                   12 essuimains prisés à 9 francs
                   12 torchons estimés à 9 francs
                   1 lit composé d'une couche en merisier, d'une paillasse, et de deux oreillers en coutil et plumes d'oies, d'une couverture de laine et d'une courtepointe en judienne garnie de laine, estimés à 290 francs

  

                 1 autre lit composé d'une ancienne couche, d'une paillasse, d'un lit de plumes de poules, d'un traversin en coutil et plumes communes et d'une couverture de laine, prisés à 85 francs
                   1 table ronde en merisier estimée à 18 francs
                   1 table longue en chêne, à un tiroir prisée à 15 francs
                   12 chaises foncées de paille prisées à 37 francs
                   1 paire de seaux en bois et un autre en fer blanc prisés à 17 francs
                   1 baquet à trois pieds cerclé en fer prisé à 18 francs
                   et divers ustensiles de cuisine et vaisselle estimés à 50 francs
                   et 1 armoire en bois de chêne à deux battants fermant à clé prisée à 100 francs

         3° Et une somme de 1000 francs en espèces
         Total des apports de la future épouse 2500 francs"


Oh mes aïeux, quelle liste ! Mais où est donc mon héritage ??

jeudi 13 mai 2010

Les archives départementales

Beaucoup de personnes autour de moi ne savent pas comment peut se dérouler une séance aux archives départementales (AD). J'espère vous éclairer avec ce billet bien que je ne sache pas exploiter toute la richesse que peut fournir les AD.

 J'ai commencé à fréquenter les AD de Rouen fin 2003. Je me souviens, j'y suis allée la première fois avec mon père. Il a tout d'abord fallu montrer patte blanche à l'accueil en s'inscrivant sur le registre de la salle de lecture. A l'accueil on nous dit que nous pouvons prendre des photos et mon père ayant laissé le sien dans la voiture, repart le chercher. Pendant ce temps, je remplis le formulaire d'inscription et là, le gentil monsieur le devient beaucoup moins quand il me demande si mon mari veut s'inscrire aussi !!!

J'ai toujours été fascinée de voir au cinéma les enquêteurs lire des microfilms, j'ai toujours voulu être à leur place ...et c'est chose faite, nous voilà dans la salle de lecture! Pas un mot, juste le bruit des allers et retours des bobines sur les lecteurs.Tout le monde est très silencieux et concentré sur ses recherches. L'archiviste nous montre les rayonnages de bobines, les livres contenant les références. Ensuite chose importante, le montage de la bobine sur le lecteur, pas si compliqué mais ça ne s'invente pas.


 Et c'est parti pour des recherches d'actes de naissance fin 1800. Et là! première difficulté quand on est débutant, déchiffrer l'écriture du maire...au19e siècle, ce n'est pas si difficile et la façon d'écrire n'est pas si différente de la nôtre mais il faut s'habituer aux différentes écritures. Au début je lisais tous les actes en entier, mais avec l'habitude on sait où chercher dans un acte et c'est bien plus rapide.



De 1792, année de création de l'état civil,  à nos jours, les actes de naissances, mariages et décès (NMD) sont dressés par les communes par un officier d'état civil. Des tables annuelles et décennales sont mises en place à partir de cette date ce qui facilitent beaucoup les recherches.

Avant 1792, il existe les registres paroissiaux. Ce sont les actes de baptêmes, mariages et sépultures (BMS) dressés par les curés des paroisses. Et là, plus on remonte le temps, plus les écritures deviennent difficiles à déchiffrer mais encore une fois avec l'habitude on y arrive sauf exceptions. En effet, la qualité des registres et les écritures des curés laissent parfois à désirer.


 "Aujourd'hui neuf avril 1729 Etienne Eude mort le même jour agé de 40 ans a été inhumé dans le cimetière de Massy en présence des soussignés"

 Autre difficulté, lors de la Révolution, le calendrier a changé et il faut se munir d'une table de conversion calendrier républicain-grégorien. Le calendrier républicain a été institué par la Convention le 5 septembre 1793 (mais commence rétroactivement le 22 septembre 1792) et annulé par Napoléon le 1er janvier 1806.

Acte de naissance de Marie Madeleine Thibault
(je vous laisse convertir la date grâce à la table de conversion)
"Ce jour d'hui vingt six Brumaire troisième année de la république française une et indivisible à trois heure d'après midi; ...."
 
De plus, de nombreux autres documents sont mis à notre disposition dans une autre salle de lecture. Il ne s'agit pas cette fois de microfilms mais des originaux. On peut y trouver notamment les archives notariales (utiles pour rechercher des contrats de mariages entre autres), les archives judiciaires (qui m'ont été très utiles), les archives  militaires, communales et beaucoup d'autres.

Depuis quelques années, les microfilms de certaines AD ont été numérisés et ont été mise en ligne. Très pratique puisque nous ne sommes plus obligés de nous déplacer, nous cherchons à notre rythme. J'attends avec impatience la mise en ligne des AD de Rouen qui devrait être pour cette année. Sur place, la plupart des AD dont Rouen est passé à la consultation des microfilms, qui ont été numérisés, sur pc.


Oh mes aïeux, j'espère que vous avez trouvé à quoi correspond le 26 Brumaire an 3 ...

lundi 10 mai 2010

Le berceau de mes ancêtres paternels

Mes ancêtres paternels, d'aussi loin que j'ai pu remonter dans mon arbre, sont majoritairement originaires du pays de Bray en Seine-Maritime (76) mais aussi de Saint Vaast d'Equiqueville qui se trouve tout à coté dans le canton d'Envermeu.


Ce petit village est né de la réunion de Saint Vaast et d'Equiqueville en 1824, tous deux situés sur la Béthune, respectivement sur la rive droite et gauche. Avant 1824, les recherches généalogiques s'effectuent donc sur deux communes distinctes et notamment sur Equiqueville pour les LETELLIER. 
Saint Vaast d'Equiqueville était situé sur la ligne Paris-Dieppe qui est aujourd'hui transformée en Avenue verte entre Forges les Eaux et Dieppe.


Afficher Saint Vaast d'Equiqueville sur une carte plus grande


Mon 7 fois arrière grand père David LETELLIER  (1656-1741) est probablement né à Saint Vaast d'Equiqueville vers 1656 sous le règne de Louis XIV. Il y a vécu 85 ans ce qui est exceptionnel à cette époque. 
Sa descendance a habité dans ce village jusqu'à mon arrière grand père (7 générations) qui déménagea dans le village voisin Ricarville du Val où est né mon grand père.
Mais cette branche a bien failli disparaître et ne pas me faire exister !! En effet, mon 5 fois arrière grand père Jacques est décédé à 25 ans en 1750, veuf 2 ans auparavant, sa femme étant décédée des suites de couches de leur enfant unique Jacques. Ce dernier s'est donc retrouvé orphelin à 2 ans et a engendré une descendance de 8 enfants dont je suis issue... 


J'ai fouillé aux archives départementales de Seine-Maritime sur le passé de Saint Vaast d'Equiqueville. Mes trouvailles feront l'objet de billets prochains.

Oh mes aïeux, et dire que j'ai failli ne pas naître...

samedi 8 mai 2010

Naissance bis

Comment m'est donc venu cette passion pour la généalogie?

Très bonne question... je ne m'en souviens pas ! je sais quand j'ai commencé mais depuis quand ça m'intéressait de faire mon arbre, je ne me rappelle pas. Je devrais peut-être faire une séance d'hypnose...

Je vous avais parlé d'anecdotes dans mon premier billet, je m'en vais vous en raconter une de suite, passionnante !

Il était une fois  Un dimanche soir d'octobre 1998, allongée bien confortablement dans mon canapé 2 places (le nombre de places est important pour la suite), je m'endors devant la télé et plus particulièrement devant un film de M6. Vers minuit, je me réveille devant devinez quoi... le film érotique du dimanche soir !!! Travaillant le lendemain, je me lève et je te bouscule et oh surprise, ma jambe est engourdie du pied jusqu'à la cuisse (et oui l'accoudoir m'avait comprimé le mollet!, 2 places c est pas bien long comme canapé). Je marche pour éteindre la télé et là  je mets tout mon poids sur mon pied anesthésié qui n'est non pas a plat mais sur la tranche et CRAC !!! Résultats des courses: entorse et fracture d'un petit os du pied ,5 semaines de plâtre!
Aux urgences: "mais comment vous vous êtes fait ça, jamais on se le casse cet os!" et moi d'expliquer mon histoire de canapé ... j'ai vu défiler tous les internes ...

Mais quel rapport avec la généalogie ??
J'ai commencé mes recherches pendant mon arrêt de travail en envoyant aux mairies des demandes d'actes de naissance de mes arrières grands-parents. Le premier acte que j'ai reçu est celui de mon arrière grand-père Georges, Désiré VILLAIN né en 1877. Ça me faisait quelque chose de retrouver un acte d'avant 1900!
    "Du seizième jour du mois de septembre, l'an mil huit cent soixante dix sept à neuf heures et demie du matin. Acte de naifsance d'un enfant qui nous a été présenté et qui a été reconnu être du sexe masculin, né en cette commune au domicile de ses parents sis au hameau de la Queue du Hellet, le jour précédent, à huit heures du matin, ..."
 Dès que j'ai pu galoper avec ma botte de marche, j'ai arpenté les cimetières des communes de mes aïeux avec ma soeur. Il faut d'ailleurs que j'y retourne, à l'époque je n'avais pas d'appareil photos.

 Oh mes aïeux, déjà 12 ans que le virus de la généalogie m'a touché!

vendredi 7 mai 2010

Naissance

Eh bien voilà, je me suis jetée à l'eau , je déclare ce blog "Oh mes Aïeux..." ouvert !!

Depuis le temps que je suis de nombreux blogs quotidiennement, j'ai créé le mien. Comment est venu le déclic? Tout simplement. Cela fait un certain temps que l'envie de partager ma passion à ma famille en éditant un livret illustré généalogique me titillait. Le problème est que je ne sais pas par où commencer. Et dans la lettre Généanet du 5 mai dernier, le blog d'Aïeux et d'Ailleurs est à l'honneur et je me dit pourquoi ne pas commencer par un blog où j'éditerai des billets qui pourront servir de base à un futur livret.

Oui, vous l'aurez compris, d'après le nom et l'en tête du blog, qu'il sera question de généalogie. J'essaierai de vous faire partager des anecdotes concernant mes ancêtres mais aussi mes recherches. c'est vrai que les recherches sont souvent pleine d'embûches et de rebondissements, parfois juste un détail nous échappe ou est mal interprété et c'est toute une recherche qui s'effondre mais heureusement, nous autres généalogistes amateurs sommes tenaces et ne nous avouons pas vaincus si facilement. Le détective qui sommeille en nous nous fait revoir les indices un par un et hop! nous retrouvons le fil qui nous amènera à de nouveaux ancêtres.

Comment m'est venue l'idée de faire ma généalogie, vous demandez vous! Réponse dans mon prochain billet.


Oh mes aïeux, moi qui n'est jamais été douée pour écrire, me voilà prête à le faire dans un blog...